En 1801, création de la Maison de La Miséricorde à Bordeaux par Mademoiselle Marie-Thérèse-Charlotte de Lamourous
En 1820, Pierre Bienvenu Noailles et les Sœurs de la Sainte Famille de Bordeaux installent au 21 rue Paul Louis Lande de jeunes orphelines, embryon de ce qui deviendra l’Institut Médico-Pédagogique Saint Joseph
En 1837, Mademoiselle Yon, d’origine libournaise, fonde La Miséricorde de Libourne à l’ancien hôpital Saint-James sur le modèle de l’œuvre créée à Bordeaux par Mademoiselle de Lamourous
En 1842, alors qu’elle a fondé sa maison depuis 5 ans, Mademoiselle Yon fera profession. Ce n’est pas une religieuse de La Miséricorde qui est devenue fondatrice, c’est une fondatrice qui est devenue religieuse de La Miséricorde
En 1857, l’Abbé Moreau, prêtre en milieu rural puis à Bordeaux, crée une société de secours mutuel, pour rassembler des orphelins pauvres et en faire des agriculteurs. Il se fait aider par des Sœurs Agricoles de la Sainte Famille de Bordeaux
En 1857, Mère Yon recueille la statue de Notre Dame de la Recouvrance, chère aux libournais
En 1861, mort du Père Noailles à Bordeaux dans la maison Saint Joseph
En 1933, les Salésiens de Don Bosco prennent en charge la gestion du domaine et des œuvres de Gradignan, et transforment l’orphelinat agricole en Centre d’Apprentissage Professionnel, en y apportant leur approche éducative spécifique. Le centre d’apprentissage deviendra ensuite le CRFP de Gradignan